Saria [La perle d'Ambre]

F I C H E
Type

NOM Da Venezia
PRÈNOM[S] Saria Andrea Maria
SURNOM[S] Sacha (en prononçant bien Satcha), Sary, La Bellisima..
ÂGE 18 ans, bascule bientôt vers ses 19.
DATE DE NAISSANCE Le 11 Novembre
GROUPE SANGUIN AB+
RACE Moitié Humaine, Moitié Telians.

TRAITS PHYSIQUES
Par où commencer, allons allons. Ne faisons pas comme si il y avait trop de choses à dire, ce serait mentir. Je n'ai rien d'extraordinaire. De taille moyenne, allant entre le mètre 65 et le mètre 70, pour un poids plume il faut l'admettre vu que je ne pèse que 43 kilos. Je ne parais pourtant pas maigrichonne, mais svelte tout simplement. musclée par la danse pratiquée depuis des années. Ensuite, une peau ambrée, dorée par le soleil de ma belle Italie. Une peau qui m'a valu ce surnom de perle d'ambre, même si la pierre précieuse ne se voue pas à la même couleur. Peu importe. Ce bronzage naturel me vient de mes plus jeunes années et ne m'a pas laissée tomber. Par ailleurs, j'ai des pieds plutôt petits. Enfin, bien proportionés mais petits tout de même. Mes jambes longues, fines et élancées m'emmènent où je le souhaite et savent faire éclater toute leur souplesse acquise sur une piste de danse. Des cuisses bien galbées, des fesses rondes. Des membres inférieurs de femme en somme.
Un ventre plat, et des hanches roulantes et vibrantes autant que faire se peut. Un dos assez cambré, mettant en avant mon buste féminin prononcé. Des épaules rondes, douces, prolongés par des bras délicats, fins, tout aussi fins que mes doigts de musicienne. Mes mains sont assez grandes,et mes doigts sont trsè grands eux, faisant de mes membres supérieurs des accessoires de forme un peu osseuse. Mon cou est assez long, tenant à son sommet le plus interessant. Le visage. Mon visage, ce qui n'est pas rien.
De forme plutôt ovale, certains diraient qu'il est en forme de coeur ce que je trouve assez rigolo. Bref, passons sur ce sujet particulier. Je dispose de petites oreilles, dissimulées sous mon immense chevelure d'or. Cette fière crinière soyeuse emplie de teintes de feu est pour moi un vrai trésor et je revois ma mère la peigner avec attention durant des heures entières. Une véritable parure d'or rutilant et s'agitant sous la brise fraiche et le soleil d'europe occidentale. ils sont très longs, et encadrent mon visage avec légèreté. Ensuite, un front bien fait, ni trop grand ni trop petit, abritant des sourcils fins et délicats, qui accentuent à merveille mes émotions. Mes yeux sont gris foncés, voire noirs, gris clairs en pleine lumière. Ces yeux si étranges que l'on trouve si peu dans mon pays furent l'objet de beaucoup de regards. Mes cils caressant mes joues à chaque cillement, ces derniers étant très longs et très élégants. Un nez aquilin, allant parfaitement bien dans l'ensemble de mon visage. J'ai des joues rosées, dont les hautes pomettes m'offrent des fossettes adorables qui en ont fait fondre plus d'un. Je possède des lèvres pleines, attrayantes au plus haut point d'une couleur variant du rose au rouge cerise. Des lèvres que l'on veux pleinement embrasser.

PARTICULARITÉ PHYSIQUE
Une cicatrice qui devait autrefois être une balafre le long de l'omoplate gauche, recouverte par la suite d'un tatouage représentant une rose rouge entourant un papillon d'un bleu azuré, formant une cage autour de ce dernier. Et ma marque de naissance, à la base du cou.

PRINCIPALES QUALITÉS
Oh, il est difficile de se donner soit même des qualités sans dépasser automatiquement la modestie et le raisonnable mais soit, tentons d'être réaliste.
Le plus grand trait de mon caractère serait la sympathie. J'essaye d'être toujours gentille et agréable avec les autres.
Par la suite, je pense que l'intelligence, ou du moins la capacité de reflexion fait partie de mes meilleures cordes. Je suis reflechie et je n'aime pas faire les choses à moitié.
Et pour finir, sans quoi on m'attribuerait déjà l'adjectif d'orgueilleuse, je me classerait comme une femme plutôt agile, que ce soit dans les relations ou dans les capacités à tout faire. Je suis assez débrouillarde donc, et je suis assez fine dans mes échanges avec les autres.

PRINCIPAUX DÉFAUTS
Aïe, voici un terrain miné ou toute personne dotée d'un soupçon d'humour déclarerait "je n'en ai pas voyons!" mais passons, même si je ne cache pas mon sens de la blague, je ne fais pas partie de ceux là. Du moins, pas aujourd'hui.
En priorité, je dirais que je suis de fort caractère. Je m'impose assez souvent et je n'aime pas que l'on contredise mes actes sans excuse valable.
Secondo, je suis le produit des sept péchés capitaux, tous répartis à petite dose, mais je peux affirmer sans trop me vexer que je suis feignante. Un poil paresseuse. Mais enfin, j'avoue que quand je fais quelque chose, je le fais jusqu'au bout et bien.

TRAITS PSYCHOLOGIQUES
En premier lieu, je dirais que je suis plutôt gentille. Du moins j'essaie de l'être le plus possible. J'ai une envie d'aligner les adjectifs qui me viennent à l'esprit. Oui, réfléchie, intelligente, réaliste... Ca oui, je sui extremement terre à terre, et même si je me forge mes propres utopies, je vis essentiellement dans le réalisme. Je tente d'être toujours la plus fûtée possible, la plus maline, et cela me reussi assez, ce qui contrebalance un certain narcissisme plutôt envahissant parfois. En effet, j'ai dû être faite par la boîte mêm de la célèbre Pandore. Les 7 péchés capitaux, si bien connus. La gourmandise, et ça oui je suis gourmande. Friande de tout. L'avarice pas trop, même pas du tout. L'orgueil. Oui assez. J'ai ma fierté et j'y tiens. La paresse. Oh oui la paresse. Mon alliée de toujours. Sans être une grosse feignasse je prends mon temps pour tout et je raffole de tout ce qui concerne le temps de sommeil. La colère. Hmm, mitigée. Mes colères sont puissantes et ravageuses, mais j'en ai très peu vu que ma patience l'emporte sur mon énervement. Je me maîtrise très bien et passe outre ce défaut. La luxure. Ouh, le joli péché mignon. Je vous le cache pas, c'est ma petite gourmandise. Je n'y suis pas accro, mais j'ai grandi dans une socété qui aime ça et j'en suis une fidèle représentante. L'envie. Oh, pas tellement. Je suis bien comme je suis et le malheur des uns ne fait pas mon bonheur non.
Obstinée, ça oui, voilà un petit trait de caractère qui me poursuit. Disons fidèle en amitié comme en amour, plutôt perspicace et approfondie. Je suis assez décidée, très déterminée, je ne m'abaisse devant rien. Méthodique et sérieuse, même si ma flegmme l'emporte souvent sur ma motivation de départ au niveau du travail. J'ai le culot d'ajouter que je suis assez courageuse. Téméraire presque. Mais pas timorée ça non, toujours désignée pour poser les questions gênantes ou pour représenter les plus timides. Curieuse oui, mais pas fouineuse. Chacun pour sa pomme dans mon esprit. Bavarde comme une pie avec ceux que je connais, je suis pourtant pas très loquace avec les inconnus, je prends le temps de mieux les comprendre. Je ne sais pas du tout me montrer indifférente face à quelque chose, je suis une éternelle interessée, ce qui ne fait pas de moi quelqu'un de très détaché, mais plutôt d'assez maniable, bien que je sois méfiante. Je suis aussi honnête et franche, un peu trop parfois. Je n'aime pas la solitude, j'ai besoin d'être entourée. J'ai qualité mêlée de défaut la verve facile, une riposte rapide, fracassante. On ne me bat pas sur la prise de parole. Je dois être un peu trop sagace.

RELATIONS AVEC LES AUTRES CLANS
Mademoiselle vient de débarquer, serait-ce trop dire que souligner que je n'ai pas de relations?


PARENTÉ Oh, des parents disparus depuis longtemps, autant dire que ma mère, c'est Venise..

RELATIONS avec les autres? oh, plut^t très délicates, j'ai pris l'habitude de rester seule depuis mon départ de la belissima..

CONTEXTE Née à Venise, il y a maintenant 18 ans de cela. Oui, je suis née au milieu de ces gens bronzés toute l'année ce 11 novembre. J'étais comme ma mère. De grands yeux gris, très clairs au départ, qui changeront certes plus tard alors que ma mère les avait conservés ainsi. Des yeux qui tournaient et viraient tout autour d'eux, cherchant la personne qui venait de lui offrir cette première respiration. Ma mère ma chère mère, qui m'a gardée auprès d'elle avec tant de tendresse. Je ne m'en souviens qu'a travers les photos et des yeux de jeune enfant. Ma douce maman m'a quittée alors que j'avais 6 ans. Mes premières années à ses côtés furent fabuleuses. Elle me couvait comme un précieux trésor. Elle paraissait pourtant étrangement forte à mes yeux. Bien plus que mon père que je n'ai jamais vu comme quelqu'un d'aussi exceptionnel qu'elle. C'était une Telian. Mais ça, je ne le savais pas encore. Elle n'avait de cesse que de me surveiller, moi, sa petite fille unique qu'elle se devait de protéger. Venise est une ville délicate pour les jeunes enfants et, moi qui aie toujours aimé l'eau, je me risquais régulièrement à gambader le long du fleuve de la cité des merveilles. Mais elle me surveillait et j'avais tôt fait de revenir sous ses jupes et sous son regard amusé et bienveillant.

Mon paternel quant à lui, était assez distant. Il rêvait d'un fils à emmener en bâteau sur les rives de la lagune, il avait gagné une fille certes solide, mis plutôt du genre à plonger qu'a diriger une coque d'acier sur les flots. Aussi me laissait-il en paix, courrir après ma mère et jouer à cache cache avec les enfants du quartier. Mais quand j'atteignais la fin de mes 5 ans, ma mère sombra dans une profonde maladie qui lui bouffait toute joie de vivre. Je restais souvent auprès d'elle, juste à lui tenir la main et à lui raconter tous les jeux que je faisais avec Paolo et Laura, mes amis et compagnons de fous rires. Elle m'écoutait toujours avec autant d'affection. Je me souviens de ses yeux gris brillants fixant avec adoration mes mèches chatâins foncées, luisantes à la lumière d'Italie. Et c'est le 11 décembre, un mois après mon 6ème anniversaire, qu'elle s'envola. Elle avait tenu jusque là et n'avait plus eu d'autre choix que de me laisser. Je me retrouvais plus malheureuse que jamais, en tête à tête ave un père que je connaissais trop peu. Que j'affectionnais, certes, mais que je ne connaissais pas vraiment. Son silence me pesait, il ne parlait presque pas, et je retrouvais la chaleur que m'avait transmise ma mère auprès de mes amis. Et quand il m'apprit que j'étais une demie, une coupée de Telians, il fallait que je retrouve une certaine stabilité dans un autre foyer, le sin était trop tempétueux.

Je grandissais, et je n'étais pas malheureuse dans mon entourage, mes 17 premières années furant donc une réussite. Je brillais autant dans les études que dans les relations. Vive, parfois même éxubérante, j'étais connue du quartier et rendait service à tous. J'avais élu pour seconde mère celle de Laura, ma mailleure amie, qui me berçait de son aide féminine, aide que l'on ne peut trouver chez un père. Surtout chez un père qui est toujours resté penché à regarder l'eau s'écouler sous la poupe de son voilier. Anna, tel était son prénom, partageait ma peine passée et comprenait très bien ma détresse lorsque j'avais besoin de réconfort maternel. Elle m'entourait et j'étais considérée comme la soeur de Laura. Et je ne peux passer outre, j'étais devenue la petite amie de Pablo. PAblo, mon beau Pablo, avec ses yeux verts éblouissants et sa silhouette aussi musclée et équilibrée que celle d'un athlète de niveau olympique. Pablo et ses cheveux d'un noir de jais. Pablo et ses mains de sculpteur, et sa voix grave, cette chaleur qu'il m'apportait. Il suffisait de parler de lui pour que mes yeux etincelllent comme des étoiles. C'était mon premier amour, et le seul que j'aie jamais connu jusqu'alors.

Car oui, je frôlais mes 18 ans du bout des doigts, et il vint m'annoncer qu'il partait à l'étranger, en Allemagne. Il devait aller poursuivre de hautes études artistiques dans une école du nord. J'étais secouée, mais moi qui pouvait aller n'importe où pour faire des études, je voulais le suivre. Je partais donc, avec un mot doux d'adieux à mon père qui me regardait avec une tristesse que je ne lui avais connu que lors de la mort de maman. Anna et Laura me voyait partir comme si je n'allais jamais revenir. Je devais retrouver Pablo dans son nouvel appartement avec une halte dans un comté voisin de sa ville. J'arrivais à Schwarzwald un soir de pluie, ma peau dorée du soleil du sud trempée de l'eau froide des cieux du nord. J'étais ravie de le retrouver et entrait dans cet étrange lieu. Je ne savais pas que j'y étais désormais coincée. J'étais perdue. Et tout ce que j'ai compris jusque là, c'est qu'il ne fait pas bon être une demie lorsque l'on vit au milieu des Telians et des Mathulerans, comme je le fais maintenant...

ANECDOTES Je pourrais vous parler de ce soir où je suis malencontreusement tombée dans le grand canal.. Mais ce serait mentionner le bel homme qui me rattrappa, je passerais pour une interessée... non?

C'est Good. Jolie
Bienvenue Saria. ^^

Fiche validée.