schwarzwald
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

schwarzwald

l a _ f o r ê t _ n o i r e

 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

 

 ANCALÍMON MELANË

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Melanë

M A T H U L E R A N S
Noble
Melanë


Féminin
Nombre de messages : 15
Age : 32
Localisation : I'm here x3
Date d'inscription : 28/08/2007

Stud-book
Age: 020 en apparence.
Race: M A T H U L E R A N S
Relations:

ANCALÍMON MELANË Empty
MessageSujet: ANCALÍMON MELANË   ANCALÍMON MELANË Icon_minitimeMar 28 Aoû - 2:20



ANCALÍMON MELANË Mouahahahaaaaqf8
-
-
-

A N C A L Í M O N
M E L A N Ë

NOM
Ancalímon

PRÈNOM[S]
Melanë

SURNOM[S]
Aucun aux dernières nouvelles…

ÂGE
Elle a 21ans en apparence.

DATE DE NAISSANCE
30 Octobre

GROUPE SANGUIN
O +

RACE
Mathulerans




TRAITS PHYSIQUES
De longs cheveux flamboyants sont attachés de tel façon que de face, l’on pourrait croire à une coupe plutôt courte, et encadrant son visage. Ses cheveux, assez sombre, sont rares pour une femme de son espèce, et pourtant, elle est totalement pure… Son visage et ses traits sont d’une finesse exquise à regarder. De plus que ses yeux sont, étrangement, verts. Mais attention, car malgré la couleur de ses yeux, l’ont peu remarqué d’où elle vient! Cette couleur si claire et si pure, en étonne plus d’un… Sa peau blanche et translucide laisse apparaître la couleur de ses veines et artères à certain endroit de son corps, tellement sa peau est fine. Ses courbes sont voluptueuses, et donnent envie de les touchées. Tout le monde aimerait pouvoir touché cet être à l’aspect si parfait, dont les vêtements se composent la plus grande partie du temps de corsets somptueux et de robes aux couleurs de l’automne, en restant dans les tons rougeâtre et verdâtre. Couleurs s’accordant merveilleusement avec son teint blanc, ses cheveux rougeoyant et ses yeux d’un vert si clair… Personne ne peut aujourd’hui s’être vanté de pouvoir l’avoir touchée, car malgré son regard farouche lorsque le désir la prend, elle est loin d’être facile… Et ses dents, qui lui procurent un sourire éclatant, peuvent laisser paraître deux crocs acérées, qui peuvent laisser des marques mortelles dans le cou de ses victimes. Et pourtant, du point de vue de sa race, la beauté de Melanë n’est appréciée que de quelques gens rares… La différence de ses yeux d’une couleur différente à la normale et ses cheveux beaucoup trop foncé laisse les gens de sa race assez perplexe, et le regard des autres est extrêmement souvent tourné vers elle. Cela ne lui donnant que plus de grâce lorsqu’elle se déplace, car sa démarche est réellement exquise… Démontrant sa noblesse antérieure.

PARTICULARITÉ PHYSIQUE
Yeux verts…

PRINCIPALES QUALITÉS
Douce, honnête, chaleureuse, réfléchie

PRINCIPAUX DÉFAUTS
Froide, volage, Distante, Impatiente



TRAITS PSYCHOLOGIQUES
Melanë est une personne des plus lunatique son caractère change extrêmement rapidement et du tout au tout. Heureusement pour les gens l’entourant dans sa vie de tout les jours, personnes rares d’ailleurs, elle a appris à maîtriser ses sauts d’humeur en gardant toujours une certaine distance avec ses amis. Sa froideur est uniquement le résultat d’année de souffrance, car la Methuleran est, pour ainsi dire, assez sensible au niveau sentimentale, et dans le monde où elle vit, elle ne peut laisser paraître une telle faiblesse… Une seule personne en se monde pourrait se vanté la connaître sous sa vrai personnalité… On pourrait prendre ce deuxième aspect d’elle-même comme un dédoublement de personnalité… Ce qui est sur en tout cas, c’est que Melanë est une personne solitaire, qui n’aime pas la compagnie d’autrui… Elle reste souvent enfermée dans l’unique pièce de sa maison aménagée par ses soins d’une chaise et de rideau. Le calme la rend d’ailleurs légèrement heureuse… Melanë est une personne assez extrême dans ses actes. Malgré sa froideur, elle aime faire sentir sa présence, et n’hésite pas à avoir une attitude légèrement provocante à certain moment, car elle adore provoqué le désir chez d’autre, pour finir par les laissé en plan, sans aucune explication… Siegfried est le seul à pouvoir profité d’un contact charnel, et il est le seul à qui elle ose parlé sans aucune crainte de représailles… Ce qu’elle peut ressentir pour lui est encore inconnu aux yeux des autres. Seul eux savent quel est la véritable nature de leur relation, et de leur sentiment.


RELATIONS AVEC LES AUTRES CLANS
Elle n’entretient aucune relation avec les autres clans, à une exception près.
Trop solitaire pour vouloir avoir des relations superficielles.


[ * ]


PARENTÉ
Père mort de l'autre côté de la porte.
Mère disparue il y a quelques années lorsqu'elle a passé la porte.

RELATIONS
Siegfried, qu’elle connaît depuis l’enfance maintenant…
Leur relation reste assez complexe, malgré l’attirance irrévocable
Qu’ils ressentent l’uns envers l’autre…


Dernière édition par le Sam 1 Sep - 19:23, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
https://schwarzwald.forumsactifs.com/L-Opuscule-f3/-p898.htm#898
Melanë

M A T H U L E R A N S
Noble
Melanë


Féminin
Nombre de messages : 15
Age : 32
Localisation : I'm here x3
Date d'inscription : 28/08/2007

Stud-book
Age: 020 en apparence.
Race: M A T H U L E R A N S
Relations:

ANCALÍMON MELANË Empty
MessageSujet: Re: ANCALÍMON MELANË   ANCALÍMON MELANË Icon_minitimeVen 31 Aoû - 22:35

CONTEXTE
Tout commença ce jour là. Le 30 octobre d’une année inconnue. Une jeune Mathuleran naquit. Jeune et pure, elle avait un physique étrange. Ses yeux étaient verts… Malgré ça, ses parents, noble, mais dans une des branches secondaires de la noblesse, l’élevèrent. Elle vécut une enfance chaotique. Car malgré son titre de noble, et de la paix entre les telians et les Mathulerans présent dans sa petite campagne, les personnes qui l’entouraient la regardaient de travers. Cette toute petite différence était en réalité un problème énorme. Car c’était la première fois en plusieurs siècle, si pas la première fois tout simplement, qu’une enfant naissait avec les yeux de cette couleur. D’autant plus que ses cheveux commençaient à poussé. À cause de son jeune âge, ils étaient roux, roux clairs, mais avec l’âge ils commencèrent à foncé. Jusqu’à devenir d’une couleur sombre. À l’âge de 12ans, elle était la risée de toute sa contrée. Malgré ça ses parents ne firent aucune distinction, et ne la traitaient qu’avec plus d’amour. En faite l’on peut dire qu’elle avait de la chance, car ses parents étaient incroyablement bons, comparé à la nature de leur race. En tout cas, elle appris très tôt à ne pas faire confiance aux gens qu’elle ne connaissait pas de peur de représailles. Elle n’avait aucune confiance en ses gens qui la jugeait uniquement sur son physique. Ils lui faisaient peurs… En faite, à part ses parents et ses précepteurs, car comme toutes enfants nobles, ne serait-ce qu’un peu, elle a eut la chance d’apprendre à lire et écrire. Seuls ses parents avaient droit à ses sourires, qui disparaissaient avec l’âge. Elle s’enfermait chez elle, et ne sortait que deux nuits par semaine. Pour allez dans un de ses lieux préférés. À l’âge de 17ans elle devint une femme extrêmement belle. Les hommes, qui avant étaient ses enfants qui la blessaient de leurs paroles, lui faisaient maintenant la cours. Ces hommes l’exaspéraient… Autant de bêtise en un seul être, autant d’insouciance… Elle les laissait faire, avec un sourire aux lèvres, elle les observaient lui faire la cours avec un amusement incroyable. Ils étaient si faibles face à elle… De temps en temps elle en laissait un espérer plus qu’un autre. Mais jamais personne n’avait pu se vanter de l’avoir touché… Et celui qui osait le dire recevait ses foudres. Car elle les détestaient. Tous, elle les laissait peut-être lui faire la cour, mais par quelque stratagème, aucun ne la touchait. Toujours une excuse à porté de main pour les empêché de la touché. Tous ses hommes qui la dégoûtaient, qui lui donnait presque envie de vomir. Leur odeur, leur voix, leurs mains…

Un jour son père eut marre de cette situation. Ne supportant plus de voir sa fille aussi malheureuse, il l’emmena avec lui à un tournoi à l’épée… Elle n’y avait encore jamais été, mais elle connaissait tout les hommes de la salle. Ils lui avaient tous déjà fais la cours au moins une fois… Elle ne les regardaient même plus… Leurs tête lui donnaient mal à la tête… Elle n’en pouvait plus. Elle resta debout près de son père. Tout ses hommes autours de lui qui n’arrêtaient pas de parlé et qui regardaient Melanë avec un regards vicieux… Elle du s’éloigné de la foule. Le tournoi allait bientôt commencer, et un peu avant le début, elle s’était rapproché de son père. Les Mathulerans, et même certains Telians laissaient des insinuations à son père. Ils auraient voulus qu’elle leur donne un foulard, comme guise de préférence. Mais ils lui donnaient plus envie de vomir qu’autre chose… Lorsque l’un d’entre eux alla même jusqu’à le demandé directement à la jeune femme, elle pâlit…
On entendit les trompettes sonnées, et les hommes s’en allèrent… C’est alors qu’un jeune homme apparut. Il dit à son père s’appeler Siegfried, et insista pour faire sa connaissance… Son oncle organisait le spectacle… À aucun instant il ne regarda Melanë… Et étrangement cette attitude lui plu… Elle ne pu expliquer pourquoi, mais sa voix la faisait rougir, et elle ne pu s’empêcher de baisser la tête. C’est à ce moment qu’un homme à l’apparence mûre lui fit la court, en lui prenant la main… Jusqu’ici Melanë n’avait jamais été touchée par un autre homme que son père, et une expression de dégoût se fit remarqué… L’homme essaya de s’approcher plus près de la jeune femme, mais elle recula et arriva à côté de Siegfried. Elle le regarda et lui pris le bras en disant au courtisant : « Cela ne sert à rien de me demandé mon foulard puisque c’est cet homme que je préfère aux autres ». Elle donna son foulard au neveux de l’organisateur en lui chuchotent à l’oreille qu’il devait l’aidée, et joué le jeu. Elle le regarda faire et ne pu s’empêcher de sourire…
Quelques minutes plus tard, Siegfried était partit, Melanë plongée dans ses pensées ne s’en était pas rendue compte, mais son père l’avait déjà conduit jusqu’aux tribunes. Elle se rendit compte qu’elle avait tenu le bras d’un homme, de cet homme, sans être dégoûtée… Enfin, cet escrimeur n’était pas comme tout les Mathulerans ou Telians qui lui avaient déjà fais des avances. Il ne lui avait même pas fait attention, et cet indifférence qu’il avait eut à son égard la soulageait quelque peu… Ca lui donnait envie de le connaître plus, mais elle ne ferait sans doute jamais le premier pas… Peut-être viendrait-il lui parler? Cela dit, si il venait à elle, elle ne l’apprécierait que moins, car ça lui montrerais qu’il n’était pas si diffèrent des autres! Toute ses réflexions lui donnaient mal à la tête, et lorsque le 5 ième ronde arriva elle décida d’arrêté d’y réfléchir et regarda le tournoi… Lorsqu’elle releva sa tête elle vit Siegfried et l’homme qui l’avait courtisée… La jeune vampire ne su empêché le sourire de la défaite du vampire lorsque le neveux de l’organisateur le terrassa… Son père observait plus sa fille que le tournoi, et l’influence qu’avait cet étranger sur elle.
Le tournoi se termina au levé du jour, en tout cas, le début du tournoi, car il durerait plusieurs jours l’un à la suite de l’autre. Tout les participants et les spectateurs se rendirent vers le château de l’organisateur, qui était noble, d’où la possession d’un château. Et l’on pouvait voir des tentes autour de celui-ci… Melanë pris le bars de son père, comme une enfant l’aurait fais, et lui demanda où ils allaient dormir. Elle avait des yeux si pures lorsqu’elle le regardait, son enfance remontait à la surface et malgré son apparence hors du commun son père pensait que sa fille était réellement magnifique et candide. Il lui expliqua qu’eux, n’allaient pas dormir dans des tantes, mais que l’organisateur avaient aménagée deux chambres, ainsi, les inopportuns ne les dérangeraient pas. Melanë lui sourit et avec son père, continua d’avancé vers le château. Elle se coucha, et lorsque la nuit revint, elle resta dans sa chambre. La jeune femme avait mal à la tête à cause de tout ses hommes, et les nausées se faisaient de plus en plus forte en pensant aux personnes qui viendraient à elle en la voyant. Elle se contenta de se rendormir, et lorsque l’aube arriva, se réveilla, enfila une cape, de peur d’être brûlée, et pris la peine de se promenée dans l’aile du château où elle se situait… Même pas dix minutes plus tard, le courtisant dont elle s’être débarrassée arriva et la plaqua contre un mur. Elle vit une porte derrière lui et tenta de crier, mais celui-ci l’en empêcha en plaçant sa main contre la bouche de celle-ci.
« Aujourd’hui tu n’as pas ton…Siegfried de malheur…Pour te sortir de la situation… »
Melanë émit un cri étouffé en sentant la main du Mathuleran soulevé sa robe. C’est alors qu’apparut le telian dont l’homme parlait. Elle se rassura en se disant qu’il l’aiderait, et c’est ce qu’il fit.
« Lâche cette femme immédiatement. »
« Avant que l'envie d'épargner ta vie ne me fasse défaut. »
le Mathuleran la lâcha. Elle s’effondra au sol, et regarda les deux hommes en face d’elle se parlé… Enfin, puisse-t-on dire qu’ils se parlaient si Siegfried était le seul à parlé. Son ton menaçant ne laissait aucune envie à répondre.
« Tu auras amplement le temps de m'affronter cette nuit, je serai ton adversaire demain, tâche de te reposer. Maintenant, quitte ce château, tu n'es plus le bienvenu ici. »
Elle vit l’homme partir, et Siegfried retourné dans sa chambre sans lancé un seul regard à la jeune femme. Melanë regarda la porte plusieurs instant, avant de se déplacée vers celle-ci et s’y adossé… Elle ne savait pas quoi faire, elle aurait voulu lui parlé, mais sa fierté et sa haine envers les hommes l’empêchait d’ouvrir la porte, ou de dire un mot. Alors elle fit glisser ses ongles contre, ce qui laissa paraître un petit bruit, qui lui permit me montré sa présence. Elle sentit la porte s’ouvrir sur elle, et tomba. Relevant la tête, elle vit Siegfried se tenir derrière elle, en la regardant fixement… Rougissant de honte, elle l’écouta parlé, se releva et entra comme celui-ci lui avait proposé. Elle observa la pièce et se dit qu’à se moment, cela ne servait plus à rien d’être gênée… Elle se coucha sur les draps du jeune homme. Un tapis de rose sur un lit blanc nacré. C’est l’image que l’on croirait voir en regardant Melanë couchée de cette façon, avec ses cheveux éparpillé sur les draps. Sa robe était de la même couleur que ses cheveux, c’était une de ses robes préférées. Elle se tourna et s’endormit avant que Siegfried n’eut le temps d’allumé une torche. Lorsque le soleil s’était couché, elle entendit qu’on ouvrait les rideaux et une fenêtre. Elle sentit un courant d’air froid passé, et frissonna en se relevant sur le lit. Se rendant compte de la situation gênante, elle ne réagit pas et regarda Siegfried qui était assis sur une chaise à côté de la fenêtre. Elle se leva et s’approcha de Siegfried. Alors qu’elle était à une distance raisonnable de lui, elle bascula en avant et s’accrocha à lui. Sa tête lui était douloureuse, et elle ne pouvait pas se relevé. Elle sentit une main la prendre et la soulevée. Melanë regarda le propriétaire de cette main, et baissa les yeux. Le regard de son interlocuteur était trop intense et la gênait. Malgré ça, elle ne cacha sa gêne en réticence. Aucun des deux individus présents dans la pièce ne dit un mot. Les minutes lui semblèrent une éternité, mais Melanë se décida à relevé la tête. Elle plongea alors ses yeux verts dans ses du Telian, et observa sa réaction.

''Tout va bien, Mademoiselle?" dit-il simplement. "Je vais sans doute être contraint d'aller affronter votre... Je ne trouve pas le mot... Ravisseur? Quoiqu'il en soit, je vais probablement devoir y aller d'un instant à l'autre."
« Ne vous inquiétez pas mon cher, j’ai déjà oublié cet homme depuis longtemps… »

Melanë fit un léger mouvement de tête et se remit droite afin de faire comprendre au Telian qu’il devait la lâché.

« Je ne vous retiendrais pas si vous devez partir, mais laissez moi vous remerciez d’avoir accepté mon foulard. »

La Mathuleran se mit dos à son interlocuteur pour l’empêché de voir une légère faiblesse de sa part, sentant quelque peu une chaleur lui monté aux joues. Elle rougissait… La jeune femme sentit Siegfried se déplacé, elle le regarda se déplacé jusqu’à ses armes et s’approcha de la fenêtre. Le jeune homme la regarda et elle lui sourit.

« Ne trouvez-vous pas ça bête ? »

Le regardant, elle se doutait qu’il ne comprendrait pas le sens de sa phrase. Melanë s’approcha,glissa lentement sa main et caressa la joue de son interlocuteur.

« Que je ne supporte pas les hommes… Ils me dégoûtent tous, avec leurs regards vicieux, leurs mains baladeuse, et leur amour pour moi… Ils ne m’ont jamais aimé! »

Un sourire. C’est la seule expression qu’arborait Melanë en disant ça à Siegfried. Elle voulait essayé de lui faire comprendre, parce qu’il semblait diffèrent… Non, il était diffèrent…


Dernière édition par le Sam 1 Sep - 19:42, édité 4 fois
Revenir en haut Aller en bas
https://schwarzwald.forumsactifs.com/L-Opuscule-f3/-p898.htm#898
Melanë

M A T H U L E R A N S
Noble
Melanë


Féminin
Nombre de messages : 15
Age : 32
Localisation : I'm here x3
Date d'inscription : 28/08/2007

Stud-book
Age: 020 en apparence.
Race: M A T H U L E R A N S
Relations:

ANCALÍMON MELANË Empty
MessageSujet: Re: ANCALÍMON MELANË   ANCALÍMON MELANË Icon_minitimeVen 31 Aoû - 22:35

« Vous savez, je n’ai pas vécu une enfance triste, mais comme vous pouvez le voir, dit-elle en souriant et fixant Siegfried, je ne suis pas une Mathuleran ordinaire… J’ai des yeux verts, des cheveux sombres, et je ne m’en porte pas plus mal, mais durant mon enfance j’ai subit de nombreuse raillerie, et je vois ses hommes et ses femmes, venir à moi comme si ils ne m’avaient jamais rien dit… »

C’était sans doute la première fois qu’elle parlait autant à un homme, et, surtout, qu’elle dévoilait autant sur son passé.

« Je ne vous demande pas de me répondre, on de réagir à ce que je viens de dire, j’avais juste envie de vous dire ça… »

Melanë retourna près de la fenêtre et regarda les tentes dehors avant de replongé son regard sur la lune, dans tout son éclat. Un bruit de pas se fit entendre dans le couloire et une personne toqua à la porte pour dire à Siegfried que son tour allait commencé. Celui-ci s’en alla en lui disant qu’elle pouvait disposé de sa chambre. Elle ne fit rien de tel et s’en alla pour se changé. Elle enfila une robe aux couleurs de ses yeux pures, et mis une cape. En se dirigeant vers le tournoi, elle croisa un courtisant qu’elle nia de toute sa beauté, et rejoignis son père. La jeune vampire s’installa à côté de celui-ci avant de posé sa tête sur son épaule et de rêvé à certaine chose…
Une heure passa, et lorsqu’elle sortit de son état léthargique, elle regarda Siegfried debout aidant son adversaire et déclaré la victoire de celui-ci. Elle soupira et lorsque tout le monde se déplaça vers les tentes, elle profita de la foule pour se glissé jusqu’à Siegfried.

« Vous m’avez déçue mon cher… »

Elle le regarda tourna autour de lui et lui souris. Melanë refit le tour du Telian, mais s’arrêta derrière lui. Elle s’approcha, frôla la main de son interlocuteur, en montant la sienne, pour finir par détaché son foulard autour de la tête du jeune homme.

« Excusez-moi, mais si vous voulez vous pouvez le garder… Cela dit, si jamais vous ne voulez pas, je le reprendrais. »

La Mathuleran se mit face à lui et lui tendit son foulard… Siegfried le pris, et s’en alla vers la foule. Au moment où il allait disparaître, il tourna la tête, et Melanë su entendre un merci de sa part. La jeune femme le regarda partir et disparaître et elle ne pu s’empêcher de sourire en pensant à lui.


Les mois passèrent, et les deux jeunes gens se croisèrent par le plus grand des hasards, une fois dans al rue, l’autre à une réception. En tout cas, l’on ne pourra pas nié qu’au plus les mois avancèrent au plus Melanë arborait un sourire radieux. Le Telian la changeait peut-être, mais son père s’inquiétait, car aux delà de leur petite campagne, les deux races se haïssaient, et que si jamais l’on venait à entendre que des nobles flirtaient ensemble, il ne donnait pas chère de leurs peau. Cela dit, il n’y eut aucun problème… Enfin, peut-on dire ça? À l’équinoxe de l’année suivant le tournoi, Siegfried s’en alla…
Un siècle défila devant les yeux de Melanë… Elle apprit à aimé, si l’on peut dire ça appendre, car le départ du Telian lui fit comprendre ce qu’il était réellement pour elle. Elle apprit aussi à se battre. La Mathuleran maintenant âgé d’un siècle et des poussières n’avait pas pris une ride, mais plutôt en maturité. Les hommes l’admiraient et la craignaient en même temps. La technologie ayant évolué elle appris à se servir de toute sorte d’arme… Épée, pistolet,… Mais celles qu’elle préférait entre toutes étaient son fouet et ses poignards… Elle s’amusait à porté l’un des instruments à la vue de tous, et ses poignards, elle les laissaient cachés sur elle, si jamais un inopportun voulait goûté à quelques chose de trop grand pour lui.
Un jour, la mère de Melanë disparut… Ce fut un grand choque pour tout le monde, car elle était appréciée par tout le monde, même l’autre race la respectait de par sa gentillesse. Mais la personne la plus touchée fut évidemment le père de Melanë. Celle-ci fut sous le choque durant quelques semaines, et après avoir fais le deuil de cette grande femme, elle resta au près de son père. Elle le voyait jour après jour arrêté de boire et de mangé, et plus les mois passèrent, plus la santé de son père se dégradait. Il finit par mourir d’une maladie inconnue. Melanë se retrouvait seule… Les funérailles se déroulèrent quelques jours après. Toute les connaissances du père de la jeune femme étaient présent au château, le père de la Mathuleran sera placé dans le caveau familial. Même des Telians vinrent aux funérailles, dont la famille de son bien-aimé. Bien-aimé qu’elle n’avait plus vu depuis un siècle… Elle ne savait pas quand il reviendrait sur ses terres, mais son absence pesait sur le cœur de la belle femme, et sa solitude se faisait de plus en plus sentir dans se château vide… Car sans ses parents, ce n’était plus pareil… Les gens arrivèrent l’un après l’autre, et à chaque personne, elle aurait cru recevoir un poignard dans le cœur… Ils lui rappelaient tous son père, et la souffrance était insupportable. La famille de son amour arriva, et elle baissa les yeux en s’inclinant avant de relevé sa tête et de voir le jeune et beau Telian. Ses yeux s’écarquillèrent, mais elle essaye de resté impassible, malgré que l’homme concerné avait eut l’air de remarqué son étonnement… Lorsque la nuit arriva, elle resta éveillée et attendit le calme complet dans le château. Le connaissant sur le bout des doigts elle se déplaça sans lumière jusqu’à la porte de Siegfried. La pièce était sombre, mais elle arrivait à distingué les traits des objets et des meubles dans la pièce. Elle avança à pas de loup, et s’installa sur le lit de son amour. Elle se glissa sous les couvertures jusqu’à la douce chaleur de son bien-aimé avant de se coller à lui en susurrant à son oreille qu’elle avait froid. Le Telian lui prit sa main pour lui faire comprendre qu’elle devait se rapproché, et c’est ce qu’elle fit. Elle s’endormit comme ça, en écoutant les battements du cœurs de son futur amant… Les nuits passèrent, et les visites continuèrent, et les deux amants finirent par laissé libre court à leurs attentes mutuelle… Siegfried finit par quitter le château en présence de son oncle et sa tante, et Melanë resta à. Dans cette immensité qu’était sa demeure, les années s’écoulèrent, et malgré les nombreuses visites de courtoisie du Telian, elle ne sortait pas de chez elle. Une rumeur finit par se faire entendre, sa mère aurait passé une porte. Melanë chercha où elle se situait, et un jour d’automne, alors que son amant n’était pas encore venu chez elle, elle s’enfuit du château… En laissant une lettre expliquant ses raisons et en demandant à Siegfried de ne pas la rejoindre.
Un jour et une nuit passèrent avant qu’elle n’arrive à destination. Elle vit cette porte, ouvert, elle essaya de voir de l’autre côté, mais elle ne vit rien. Elle pensa à sa mère disparue, et fini par se décidée… Elle avança en tout de 4 pas, le dernier se fit de l’autre côté de la porte. Et elle ne vit qu’une foret gigantesque… Elle arriva à un village où se trouvait des gens d’une autre espèce encore de la sienne, et que de celle de son bien-aimé. Et lorsque les premiers rayon du soleil apparurent, elle trouva une maison abandonné, et s’y cacha… Elle ne comprit pas tout de suite, et laissa les années s’écoulées… C’est ainsi que Melanë arriva dans se petit village qu’était Schwarzwald.




ANECDOTES Facultatif
Revenir en haut Aller en bas
https://schwarzwald.forumsactifs.com/L-Opuscule-f3/-p898.htm#898
Rochel

H U M A I N S
Esclave
Rochel


Masculin
Nombre de messages : 189
Age : 39
Localisation : Auprès de ma maitresse
Fonction : Esclave de Prune
Date d'inscription : 09/07/2007

Stud-book
Age: 19 ans
Race: Humaine
Relations:

ANCALÍMON MELANË Empty
MessageSujet: Re: ANCALÍMON MELANË   ANCALÍMON MELANË Icon_minitimeSam 1 Sep - 21:07

C'est bon, Belle fiche Razz
Bienvenue ^^

Fiche validée.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





ANCALÍMON MELANË Empty
MessageSujet: Re: ANCALÍMON MELANË   ANCALÍMON MELANË Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
ANCALÍMON MELANË
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
schwarzwald :: La lisière de la forêt... :: L'Opuscule-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser